Retour sur... Séminaire transversal | Good in Tech
Publié le 9 mai 2022
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Mis à jour le 9 mai 2022
le 22 avril 2022
A l’invitation du laboratoire Coactis et du pôle Hunis, s’est tenu un séminaire, notamment destiné aux doctorants sur le Good in Tech (ou “numérique responsable”), animé par W. Azan, le 22 avril 2022. Vesselina Tossan, maîtresse de conférences et Christine Balagué, professeure à Institut Mines Telecom Business School, se sont prêtées à l’exercice qui consiste à présenter leurs travaux sur la thématique.
Vesselina Tossan a présenté une recherche sur l’application de traçage COVID-19 en France. Le cadre théorique prend en compte la théorie du modèle d’acceptation de la technologie, la théorie du comportement dirigé vers un but et la théorie de la vie privée pour expliquer l’intention d’utiliser l’application de traçage COVID-19. Cette recherche repose sur une enquête en ligne. Les résultats montrent que les émotions anticipées, l’utilité perçue, les préoccupations relatives à la vie privée et la sensibilité à la permission perçue contribuent de manière significative à l’intention d’adopter l’application. Les systèmes d’information “responsables” ne sont pas simplement là pour soigner mais aussi pour aider à prendre des décisions.
Christine Balagué a, quant à elle, présenté les travaux de la chaire de Good in Tech (www.goodintech.org) qui vise à créer de nouvelles connaissances autour de quatre axes de recherche (innovation numérique responsable, technologies et IA éthiques et responsables, repenser les futurs, gouvernance des technologies responsables) et de contribuer à la diffusion de ces connaissances. Sa présentation s’est attardée sur deux sujets : l’éthique des algorithmes d’intelligence artificielle, et la responsabilité numérique des entreprises. Christine Balagué a notamment insisté sur la nécessité de penser l’intelligence artificielle et les technologies digitales responsable dans leur conception (contrôle des biais des données, des effets de discrimination, interprétabilité des algorithmes) et de mesurer les effets positifs/négatifs sur la société et sur l’environnement.
Vesselina Tossan a présenté une recherche sur l’application de traçage COVID-19 en France. Le cadre théorique prend en compte la théorie du modèle d’acceptation de la technologie, la théorie du comportement dirigé vers un but et la théorie de la vie privée pour expliquer l’intention d’utiliser l’application de traçage COVID-19. Cette recherche repose sur une enquête en ligne. Les résultats montrent que les émotions anticipées, l’utilité perçue, les préoccupations relatives à la vie privée et la sensibilité à la permission perçue contribuent de manière significative à l’intention d’adopter l’application. Les systèmes d’information “responsables” ne sont pas simplement là pour soigner mais aussi pour aider à prendre des décisions.
Christine Balagué a, quant à elle, présenté les travaux de la chaire de Good in Tech (www.goodintech.org) qui vise à créer de nouvelles connaissances autour de quatre axes de recherche (innovation numérique responsable, technologies et IA éthiques et responsables, repenser les futurs, gouvernance des technologies responsables) et de contribuer à la diffusion de ces connaissances. Sa présentation s’est attardée sur deux sujets : l’éthique des algorithmes d’intelligence artificielle, et la responsabilité numérique des entreprises. Christine Balagué a notamment insisté sur la nécessité de penser l’intelligence artificielle et les technologies digitales responsable dans leur conception (contrôle des biais des données, des effets de discrimination, interprétabilité des algorithmes) et de mesurer les effets positifs/négatifs sur la société et sur l’environnement.
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