Quatre collègues du pôle "publications scientifiques" du service informatique documentaire du Service commun de documentation (SCD)
Christelle Caillet, Chargée des archives ouvertes
Étant chargée de l’appui à la production scientifique à Lyon 2 et des services aux chercheur.es, je peux continuer à travailler normalement. Les échanges se font uniquement par courriel, ce qui est parfois plus compliqué pour résoudre les problèmes rapidement. Sinon, gain de temps de trajet et de préparation…
Ci-contre, deux photos qui représentent mes positions de "télétravail" : poste de travail installé dans le salon, pour un nettoyage de printemps du référentiel HAL Lyon2 et la rédaction de documents de synthèse sur les statistiques, les services aux chercheur.es. Tantôt côté cour, tantôt côté mer…
Une anecdote ? Nous avons déjà fêté deux anniversaires en confinement, il reste le mien… j’espère bien être hors délai ;-)
Ma mission est d'assurer la continuité du traitement et de la diffusion des thèses : réception des dossiers des doctorant.es, traitements des fichiers et dépôt de ceux-ci dans STAR (site destiné au dépôt national).
Ce qui est compliqué pendant le confinement, c'est de ne pas forcément avoir accès à tous les dossiers, d'utiliser un matériel de travail moins performant et la communication avec les collègues moins simple, sans oublier le manque de convivialité.
Une anecdote ? Mon chien adore traiter les thèses avec moi.
Laetitia Lecouédic, éditrice au SCD Lyon 2
Les interactions avec les collègues sont numériques et les trajets pour aller travailler beaucoup plus courts. En dehors de ces différences, je peux travailler quasiment comme avant.
Pour me changer les idées, j'ai un onglet dans la barre de mes favoris qui mène à un nid de cigognes. Je vais les voir de temps en temps. La semaine dernière, elles sont passées de deux à cinq !
Ma mission est d'aider les chercheur.es à gérer leurs données de recherche.
Avec le confinement, il n'y a plus de plus de rencontres en face à face, mais les échanges avec les chercheur.es via courriel et le téléphone marchent aussi bien qu’avant.
Un conseil ?
Cultiver son jardin, cultiver ses données !