Mission à Göteborg

Le saviez-vous ? Il s'agit d'une relation de longue date, puisqu'au printemps 2017, nous avons célébré 30 ans de coopération avec l’Université de Göteborg, avec l'accueil d'une délégation à Lyon. La mission de cet automne était l'occasion de rencontrer différents interlocuteur/trices, homologues au niveau des relations internationales et responsables d'études en langues, en littératures et humanités.
Beate Baldwin était invitée à une conférence organisée sur la mobilité internationale afin de présenter notre offre d’accueil, tant le volet pédagogique que culture. Au cours des années, plus de 1 000 étudiant.es ont étudié à Lyon 2 dans le cadre de ce programme très prisé, et il est envisagé d’augmenter encore le nombre de participant.es.
 

Focus sur les stages intensifs pour les étudiant.es suédois.es

La convention qui nous lie à l'université de Göteborg offre la possibilité aux suédois.es, futur.es professeur.es de français, d'effectuer un stage à Lyon.
Actuellement, 3 sessions de 20 places sont proposées à Lyon 2 et financées par Göteborg :

• un stage de français au 1er semestre et un autre au 2e semestre ;
• un stage de français et d'économie, destiné aux étudiant.es de l’École du Commerce de Göteborg.

Proposé aux étudiant.es de l’Université de Göteborg depuis de nombreuses années, le stage de langue française est le fruit d'un partenariat historique entre les deux établissements. Il est articulé autour de deux thèmes, la littérature et la civilisation française ou l’économie et la communication. Il implique des enseignant.es de plusieurs composantes, le Centre international d'études françaises (CIEF) et les UFR Langues, Temps & territoires, Sciences économiques et gestion, afin d'assurer ces cours spécifiques très appréciés des stagiaires.
Cette formule permet aux étudiant.es suédois.es d’étudier la grammaire et la langue française mais aussi de découvrir l'histoire, les lieux culturels et la gastronomie de la région.
 

Perspectives

Cette mission a permis d'explorer de nouvelles pistes telles que les mobilités courtes ou hybrides qui présentent certains avantages :

• lever l'obstacle de la langue ;
• être plus accessible (pour les étudiant.es qui n'envisagent pas une expérience internationale, notamment pour des raisons financières) ;
• aborder des thématiques en lien avec les intérêts des étudiant.es pour des sujets de société : racisme et populisme ; le développement durable...