Publié le 10 juin 2020 Mis à jour le 10 juin 2020
du 3
au 5 septembre 2019

Jim Walker, Vice-président en charge des relations internationales, s'est rendu dans la péninsule arabique pour étudier les perspectives de collaboration, notamment avec l'Université du Qatar, mais également avec d’autres acteur/trices de l’enseignement supérieur et de la recherche du pays.

Le Qatar est un pays avec un jeune système d’ESR et qui connaît un besoin très fort, et fortement ressenti, d’expertise et de formations en sciences humaines et sociales. Ainsi cherche-t-il à développer des accords, notamment en pour conduire une recherche conjointe, ou encore pour bénéficier de l'expertise d'enseignant.es chercheur.es.
Du 3 au 5 septembre 2019, Jim Walker a ainsi pu rencontrer de nombreux/euses interlocuteur/trices, aux profils variés – Vice-Président en charge de la recherche et des études supérieures, directeur de l'Institut de recherche sur les enquêtes sociales et économiques, enseignant.es chercheur.es du département de littérature anglaise et linguistique, directeur du centre d'études du Golfe, les équipes du Qatar National Research Foundation et enfin des collègues à la Hamad bin Khalifa University et au Doha Institute.

Les perspectives ne manquent pas :
  • projet d'études conjointes sur la communication via les réseaux sociaux ;
  • formation des chercheur.es à la fouille de données ;
  • recherche d'un partenaire français pour le suivi des étudiant.es qatari.es de la mineure française ;
  • demande d'une conférence conjointe au printemps 2021 sur le populisme en Europe et son impact sur le Golfe ;
  • invitation au Salon de l'éducation à l'automne 2019 ;
  • discussion sur l'émergence de l'archéologie ;
  • projet d'un atelier conjoint sur l'impact des technologies en SHS et des innovations sociales dans l'Union européenne et le Golfe ou encore l'importance des SHS dans les sociétés en transition ;
  • intérêt pour les questions de migrations, d'énergies (renouvelables), de liberté d'expression, de droit du travail, d'éducation et de politiques publiques, de villes intelligentes / smart cities, d'économie sociale et solidaire...
Il s’agira donc pour nos collègues, qui pourraient s’intéresser à ces thématiques et qui chercheraient à créer des liens avec un pays qui, malgré un véritable déficit d’image, proposent des pistes de collaboration intéressantes pour les sciences humaines et sociales.

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