Publié le 21 juillet 2023 Mis à jour le 21 juillet 2023
Avec cet article, nous vous proposons un retour sur les 2 jours de symposium sur les études de genre ayant eu lieu à l'Université Lumière Lyon 2 en juin 2022... bonne lecture !

 
Communications
Table Ronde Non binarité

CAMPS François-David et SMANIOTTO Barbara : « Une femme en devenir » : les comportements de travestissement chez l'homme | psychologie clinique

DELILLE Damien : L’image de l’artiste et le genre en action | histoire de l’art

Interroger le visuel au prisme du genre est devenu une pratique courante dans nos sociétés de l’image. Or, les méthodes manquent parfois pour saisir la polysémie de ces objets muets, qui croisent différentes disciplines comme l’histoire de l’art, la sémiologie, la sociologie ou encore la littérature. Nous souhaitons focaliser notre attention sur l’image de l’artiste visuel et les stéréotypes de genre qui engagent sa posture conçue comme performative, et souvent située à la marge ou à l’avant-garde des questions sociétales. Un rapide aperçu historique des constructions sociales présentes au cœur de la création visuelle (peinture, sculpture, illustration, photographie, performance) permettra d’évaluer le rôle politique de l’artiste dans la contestation des normes de genre.

GIUSTI Jean-Paul : Travestissement des voix dans les littératures Ibéro-américaines | littérature comparée, études lusophones

MEDEL BAO Jordi : La littérature trans comme séduction socio-politique | littérature et genre

MORON-PUECH Benjamin : Trois illustration de l’effacement juridique de la non-binarité du «sexe» : l’état civil, les corps des nouveaux nés et la grammaire | droit

Table Ronde Corps et santé

AZCUE Mathieu : Le corps de l’accouchement au prisme du système de genre | sociologie et maïeutique

A partir d’une généalogie socio-historique des pratiques de l’accouchement au regard de la construction ternaire du corps (Tain, 2013), nous proposons d’analyser la dynamique du système de genre propre à la médicalisation de l’expérience du corps à l’accouchement. Le corps ternaire proposé par Laurence Tain permet d’articuler le corps anatomique de la Science, le corps négocié de l’Etat et le corps cosmique des religions et spiritualités. Nous entendons par système de genre, un rapport social qui construit une bicatégorisation sexuée, une hiérarchie entre femmes et hommes au détriment des femmes et une obligation reproductive hétérosexuelle, l’hétéronormativité. Outre l’approche historique, la communication présentera comment l’expérience du corps de l’accouchement est socialement construite par le système de genre à la fois chez les professionnels de l’accouchement et chez les femmes/les couples.

BANENS Maks : Propos sur l'aide familiale et le care | démographie, sociologie

CAMPS François-David et SMANIOTTO Barbara : Recherche sur l’impact psychotraumatique des violences conjugales | psychologie sociale

MOULINIER-BROGI Laurence : Hommes, femmes et soins du corps au Moyen Âge : pour une approche genrée de l’histoire de la médecine | histoire

BLANCHARD Soline : Promouvoir l’égalité au travail : oui, mais comment ? Les consultant·es en égalité face à la construction d’une posture professionnelle | sociologie

Cette communication aborde une facette d’un programme de recherche sur les dynamiques de genre dans le monde professionnel qui, initié il y a plus de quinze ans, étudie la façon dont des revendications sociales et des injonctions juridiques en matière d’égalité sont façonnées et incorporées dans les organisations de travail (référentiels et cadrages du problème, configurations d’acteurs·rices mobilisé·es, dispositifs déployés et usages/effets). L’étude de cas proposée ici porte sur les consultant·es en égalité, un groupe qui se développe et se structure depuis une vingtaine d’années. Après avoir souligné la pluralité des profils de ses membres mais aussi leur engagement personnel commun en faveur de l’égalité, il s’agit d’explorer la question suivante : comment ces expert·es façonnent-ils/elles leur posture professionnelle dans un domaine situé au carrefour d'enjeux personnels, politiques et économiques, et dans des environnements de travail peu mobilisés sur le sujet et réfractaires à toute approche apparentée à du féminisme ? A partir de l’analyse de 63 entretiens, la communication met en lumière deux postures-types développées par les consultant·es (la neutralité et le militantisme), ainsi que les tensions vécues et les multiples arrangements opérés au quotidien pour tenter de les résoudre et de faire converger convictions personnelles et contraintes gestionnaires.

Table Ronde Visibilité

CHEVALIER Yannick : Ecriture inclusive | littérature

DESPRES-LONNET Marie : Mettre en scène les stéréotypes de genre pour gagner en visibilité : stratégies énonciatives des Youtubers « lifestyle » | sciences de l’information et de la communication

FAVRE Cécile : La « science des données » au prisme des études de genre : objet de recherche et source de questionnements méthodologiques pour la scientométrie. Le cas du défi EGC 2020 | informatique, statistique

FERRET Olivier : Rééditer les textes de et sur les femmes publiés pendant la Révolution française : le projet DAMES·DE·FER | littérature

La plupart des histoires du féminisme prennent pour point de départ la Révolution française, qui correspond indéniablement à un essor sans précédent d’une prise de parole des femmes et/ou sur les femmes relatant leur situation, mais faisant aussi état de revendications, notamment pour l’accès aux droits civils et civiques. Une partie de cette masse de textes, dispersés dans les fonds des bibliothèques, en France comme à l’étranger, a été réimprimée à l’initiative d’Albert Soboul sous forme de fac-similé (Les Femmes dans la Révolution française, Paris, EDHIS, 1982, 3 vol.). D’autres ont pu être retrouvés au gré des recherches effectuées entre autres sur Gallica, Google Books et archive.org.
Le projet DAMES·DE·FER (Dispositif d’annotation et de médiatisation par l’édition scientifique des discours et écrits sur les femmes en Révolution), mis en œuvre depuis deux ans dans le cadre du séminaire « Genre et littérature » du parcours GLC de la mention Études sur le genre de Lyon 2, vise à donner à lire, avec un accompagnement critique (annotation, dossier critique), des textes, établis selon des normes philologiques rigoureuses, publiés entre 1789 et 1804 sur la représentation des femmes pendant le processus révolutionnaire. Une quinzaine de textes sont désormais prêts à être mis en ligne, au printemps 2022, dans un premier temps sur le carnet Hypothèses du parcours GCL (https://genrelittculture.hypotheses.org/).
Dans le cadre du symposium, la présentation envisagée consisterait à présenter brièvement l’historique du projet, à montrer quelques-unes des premières réalisations et à répertorier certains des points de convergence et de débats observés dans ces textes. Il s’agira en particulier de montrer comment l’interprétation (ou la réinterprétation) de ces textes peut bénéficier des apports des outils, concepts et méthodes des études sur le genre. Il s’agira aussi, dans un esprit pluridisciplinaire, de susciter des collaborations, en particulier avec des historiennes et historiens de la période considérée, mais aussi, la question des droits étant centrale dans plusieurs de ces textes, des juristes.

HAMIDI Bérénice : Violences sexistes et sexuelles : changer les regards, repenser les prises en charge | arts du spectacle

L’enjeu de cette présentation est de tirer les conclusions du colloque REPAIR qui s’est tenu à Lyon du 3 au 5 mars 2022 et de présenter la suite du projet (procès fictif) prévue pour l’année 2022-2023. Il sera notamment question des causes et des effets des « erreurs de cadrage » (Nancy Fraser) à la fois cinématographique et théorique dans la représentation des scènes de violences sexuelles. La thèse principale est qu’apprendre à les voir, les dire, les écouter et les prendre en charge implique un travail sur les regards et un travail sur le langage : d’où regarde-t-on la scène ? Où situe-t-on le point de vue et l’empathie ? Comment passer d’un regard qui invisibilise les violences et tend à réifier les corps des femmes et des personnes sexisées à des représentations sociales et culturelles qui valorisent, théoriquement et érotiquement, la liberté et l’égalité dans le désir et le plaisir tous sexes confondus ? Le travail sur le langage porte quant à lui tout à la fois sur l’énonciation, sur la narration et sur le vocabulaire et la qualification des faits et des notions. Qui sont le « je », le « tu », le « il, elle », le « nous », le « vous » et le « ils, elles » de la scène des violences sexuelles ? Comment en nommer les protagonistes les mieux identifiés : victime, survivante, plaignantes vs agresseur, mis en cause, auteur de violence ? Assumer l’auctorialité de l’acte semble constituer une condition de la prévention de la récidive. Cela n’implique-t-il pas que cette prise de responsabilité soit aussi au cœur de la prise en charge thérapeutique ? Au-delà du partage entre le champ lexical de la justice et celui du soin, le choix des mots révèle le degré d’articulation entre réparation individuelle et transformation collective.

HARDER Marie-Pierre : Le mâle est fait. Articuler littérature comparée et études sur les masculinités | littérature comparée

Depuis quelques années, la question de la – ou des – masculinités semble susciter une actualité tant médiatique qu’universitaire qui se signale, dans le champ francophone, par une série de productions culturelles diverses, publications et traductions d’ouvrages de référence. Cette contribution se propose donc d’exposer quelques enjeux critiques (dans tous les sens du terme) des études sur les masculinités en études littéraires : quels en sont les apports, mais aussi les possibles écueils d’un point de vue queer/féministe ? À partir d’un retour sur ma thèse en littérature comparée (2018), qui analysait, en diachronie, les (re)configurations discursives du mythe antique dit d’« Hercule à la croisée des chemins » dans les cultures européennes comme autant de puissantes, mais aussi troublantes, « technologies de genre » (T. De Lauretis), il s’agira d’interroger quelques modalités de la mobilisation des études sur les masculinités en littérature comparée et de leur articulation aux études genre et queer dans une perspective intersectionnelle.

MORON-PUECH Benjamin : Le procès de la langue genrée | droit privé

Table Ronde Place des femmes

CLEMENT Michèle : Louise Labé 2022 | littérature

GOMEZ-BETANCOURT Rebeca : Une histoire de l’économie féministe à travers ses tensions et ses fondatrices | économie

MARTINAT Monica : (In)égalités et genre dans la longue durée | histoire

MARTINI Manuela : Femmes industrieuses entre contrainte et autonomie dans l’Europe méditerranéenne, XIXe siècle-XXe siècle | histoire

Le récit de l’histoire de l’industrialisation européenne et mondiale a été profondément modifié par les apports de travaux qui depuis les années 1970 œuvrent pour la prise en compte du travail des femmes et des enfants dans ce long processus que fut l’avènement de la « Révolution industrielle ». Dans ce sillon mes recherches portent sur l’histoire, encore peu connue, des formes de travail indépendant des femmes. Elles s’interrogent sur la frontière poreuse entre précarité et entrepreneuriat à travers l’étude de trajectoires de travailleuses à domicile, femmes encadrant d’autres femmes dans le travail usinier ou femmes à la tête d’ateliers dans l’industrie textile dans la transition entre la première et la deuxième « Révolution industrielle ».
En se penchant sur les hiérarchies genrées internes au monde ouvrier, les projets collectifs que j’anime dans ce cadre contribuent au débat international sur le rôle des femmes dans le processus d’industrialisation et le développement socialement soutenable. Issus d’une réflexion que je mène depuis une dizaine d’année sur le travail rémunéré et non rémunéré des adultes et des jeunes en France, ils visent à alimenter la réflexion autour d’une étude comparative de plus vaste envergure sur l’Europe méditerranéenne.

THIVEND Marianne : « Des femmes qui comptent » : itinéraire de recherche entre histoire de l’éducation et de la formation, histoire des femmes et du genre, histoire des mondes du travail, XIXe siècle | histoire

ZENETTI Marie-Jeanne : Penser les savoirs situés depuis les arts et la littérature : épistémologies féministes et arts documentaires | littérature

L’entreprise de critique et de refonte de l’objectivité scientifique par les épistémologies féministes est née de la prise en compte de discours de savoirs marginalisés du point de vue de l’ordre du discours et de l’économie de la connaissance. C’est ainsi souvent depuis des expériences militantes, et en liant les épistémologies féministes aux luttes contre les dominations, qu’ont été élaborées les théories du standpoint et des savoirs situés. Dans mes recherches en cours en vue de l’habilitation, j’interroge la production de savoirs critiques depuis les arts et littératures documentaires, eux aussi relativement excentrés ou inattendus du point de vue de l’épistémologie. Les productions documentaires partagent avec les discours scientifiques, journalistiques ou militants l’ambition de produire des descriptions et des analyses de certains faits sociaux présents ou passés, tout en s’en distinguant fortement du point de vue des modalités de leur production, de leur diffusion ou de leur évaluation. Il s’agit donc d’étudier comment les arts et la littérature se saisissent de certains questionnements épistémologiques théorisés par les épistémologies féministes. L’enjeu, pour des études littéraires jugées en crise, est aussi de penser leur place au sein de l’organisation des savoirs et des disciplines, en montrant qu’elles fournissent des outils spécifiques propres à éclairer les débats sur la production de savoirs critiques.

PLANTE Christine : Femmes et concours | littérature

Table Ronde Mixité

BONZOM Alice : « L’incarnation de presque tout ce qui est maléfique » : histoire d’en haut et histoire d’en bas des détenues britanniques (1860-1914) | histoire britannique

Si les femmes ne représentaient qu’une faible part des criminels victoriens et édouardiens, elles n’en étaient pas moins conçues comme particulièrement problématiques. La perception des femmes victoriennes et édouardiennes était irriguée de jugements moraux. Ces normes dessinaient, en creux, la figure d’une femme anormale, une super-déviante : la criminelle dérangée et la détenue dérangeante. Toutefois, ce postulat heuristique, fruit d’une réflexion sur l’histoire des femmes amorcée dans les années 1960, camoufle des théories et des réalités plus nuancées. À travers le prisme de l’histoire d’en bas, la désobéissance de ces déviantes se meut en défiance.

CLEUZIOU Juliette : Les femmes dans l'économie cérémonielle au Tadjikistan : des compétences spécifiques ou reproduction du patriarcat | anthropologie

COMBAZ Gilles : Les paradoxes de la féminisation. Etude de trois postes à responsabilité au sein du système éducatif | sciences de l’éducation

Cette proposition de communication consiste à présenter les principaux résultats d’une douzaine années de recherche consacrées à l’étude de l’accès des femmes et des hommes à des postes à responsabilité au sein du système éducatif français. Ce dernier est très féminisé au sens quantitatif du terme mais les données disponibles montrent que plus on monte dans la hiérarchie et plus la part des femmes diminue. Néanmoins, pour les postes d’encadrement intermédiaire étudiés (chefs d’établissement du second degré, inspecteurs et directeurs d’école dans le premier degré), la répartition selon le sexe est désormais équilibrée. En prenant appui sur les statistiques nationales et à partir d’enquêtes originales, la recherche montre cependant que des inégalités se créent au cours des déroulements de carrière. La grille d’analyse est constituée des travaux qui s’intéressent à : la parentalité, la situation personnelle (marié, célibataire, divorcé), le rapport à l’activité professionnelle (mobilité géographique, usage du temps partiel), le partage des tâches domestiques et des responsabilités éducatives, les usages du temps par les femmes et les hommes, les bifurcations et les ruptures dans l’itinéraire biographique, les politiques familiales.

KUNERT Stéphanie : Genre, images et discours médiatiques | sciences de l’information et de la communication

MAUDET Marion : Des pratiques aux normes sexuelles : enquêter sur des logiques de (co)production normative en matière de sexualité | sociologie

Je souhaite proposer, pour le symposium genre, une présentation d’une recherche à venir, qui viendrait poursuivre en modifiant toutefois en partie la perspective, des travaux passés. Mes recherches ont, jusqu’alors portées sur la sexualité en tant qu’ensemble de pratiques, de discours et de relations. Je me suis intéressée aux parcours sexuels et affectifs de jeunes femmes et hommes dont une des particularités était d’appartenir à une religion, catholicisme ou islam. Cette entrée par les pratiques n’a pas empêché de mettre en évidence le rôle (reconfiguré dans la période récente) de certaines instances normatives, comme l’Eglise, par exemple, mais prise dans des dimensions plus locales (des groupes de parole sur la sexualité, une aumônerie, une église inclusive, etc.). Cette dimension structurée de la parole sur la sexualité n’a pas été observée de la sorte, pour les personnes musulmanes. Cette prise en charge d’une parole (jugée légitime) sur une sexualité (jugée respectable) invite à poser plus largement la question de la manière dont les bonnes manières de parler de sexualité se construisent, et plus largement d’interroger les instances normatives, productrices de discours acceptables sur la sexualité et la manière dont fonctionnent ces instances, à des niveaux locaux et parfois à une échelle plus globale.
Pour ce faire, le projet en cours de constitution reposerait sur la comparaison de plusieurs terrains d’enquête, s’inspirant en partie de mon ancienne enquête : du côté de l’institution médicale, ou à ses frontières (cabinets de sexologie, plannings familiaux, cabinets de sage-femme ou gynécologiques) ; des institutions religieuses (groupes religieux : groupes de parole, rencontres sur le couple et la sexualité, discussion de texte, etc.) ; de l’école (séances d’éducation affective et sexuelle en particulier) ; de l’institution judiciaire (centre d’accueil des hommes violents, etc.). Le projet étant au tout début de son élaboration, je développerai surtout quelques hypothèses à partir d’un état de l’art encore succinct, et proposerai avec plus de précisions certains terrains de recherche.

MORIN-MESSABEL Christine : Questions genre en psychologie sociale : approches théoriques et exemples de recherches en santé et en éducation | psychologie sociale

ROSTAING Corinne : La prison, une organisation genrée à l’épreuve de la mixité | sociologie

La prison, organisation genrée faite par et pour des hommes, reste une des rares institutions non mixtes de notre société. Dans un contexte d’ouverture progressive à la mixité d’une institution fondamentalement non mixte et de dénonciation des inégalités de traitement entre femmes et hommes détenus, cette recherche interroge les représentations sociales des personnels comme des personnes détenues et les pratiques relatives aux places respectives de la non-mixité et de la mixité en détention. Elle étudie les effets produits par le développement de ces espaces et temps mixtes mais aussi les résistances. Elle nous conduit aussi à analyser les effets de la binarité sur l’incarcération des personnes transgenres. Outre le bilan de la situation existante en France, l’apport d’autres expériences de mixité carcérale à l’étranger montre à la fois l’ampleur des possibles et des retours d’expériences négatifs.

Temps des étudiant.e.s

[photos + liste sujets et doctorant.e.s + explication valise]

Présentation des quatre mémoires du pôle soumis au prix du Master - GIS Institut du Genre (voir aussi notre article ici sur les candidat.e.s 2023) :

Solène Cochet, Egalités
Flora Foulquier, Egales
Charlotte Warin, Etudes lusophones
Juliette Zanetta, Matilda

Forum des DOCTORANT.ES et JEUNES DOCTEUR.ES

Présentations de :
Aïsha Bazlamit
Valentine Mercier
Florencia Bianca Messore
Emily Ng Cheong Kai
Lucie Pouclet
Claire Saunier-Le Foll
Chamberline Simo
Maxime Triquenaux
Noé Vaccari

PUL

Les PUL étaient également présentes pour ce symposium, avec une table d'ouvrages et la présentations de deux collections phares :

[liens collections]
[photo]

Julien THERY, directeur scientifique des PUL

Christine PLANTE, directrice de la collection Des deux sexes et autres https://presses.univ-lyon2.fr/menu/des-deux-sexes-et-autres/49/1/6

Maks BANENS, directeur de la collection Sexualités : https://presses.univ-lyon2.fr/menu/sexualites/48/1/6
 

Extraits

Liens vers extraits vidéos et photos à venir

Soirée DS

[texte et photos]


Comité d'organisation : Hélène Chauveau, Olivier Ferret, Manuela Martini, Jordi Medel Bao, Christine Morin-Messabel, Corinne Rostaing

Comité scientifique : Isabelle Collet, Helena Gonzales Fernandes, Annabel Kim, Nicky Le Feuvre, Carlotta Sorba, Laurence Tain

L'équipe du Pôle Genre a saisi l'opportunité de ce symposium pour tisser des liens pour de nouveaux projets, suivez toutes les actualités du Pôle sur notre page !