Mise à jour le 24 janv. 2022
Publié le 20 janvier 2022 Mis à jour le 24 janvier 2022

À 22 ans, Solène et Matéo sont étudiant.es en master 2 de Droit social - théorie et pratique du droit social et siègent au conseil de l'IETL depuis le scrutin d'octobre 2021. Solène est titulaire et Matéo suppléant.

Afin d'encourager d'autres étudiant.es à déposer leur candidature pour participer au conseil de leur composante, il/elle ont accepté de répondre à quelques questions.

Qu'est-ce qui vous a motivé à vous engager au sein de votre composante et à déposer votre candidature lors du scrutin l'automne dernier ?
S. : Je pense que la question ne tient pas tant à pourquoi, de manière individuelle, je me suis engagée au sein de ma composante, mais plutôt à pourquoi, il est important d’un point de vue collectif, d’avoir une représentation étudiante au sein de la composante. Une représentation étudiante est nécessaire parce qu’elle permet tout simplement la représentation des étudiants au sein de la composante. Les conseils de composantes prennent plusieurs décisions qui affectent directement les étudiant.es. Représenter les étudiant.es, c’est représenter tou.tes les étudiant.es de notre composante de manière générale, mais aussi de manière plus spécifique puisqu’il existe différents parcours /filières (par ex. au sein de l’IETL : droit social, ergonomie ou encore inégalités et discriminations). Y siéger, c’est aussi pouvoir faire remonter les problématiques rencontrées dans l’année par les étudiant.es. Au-delà de ces enjeux pratiques, cela permet aux étudiant.es représentant.es de s’inscrire pleinement dans la compréhension et dans le fonctionnement de son université, tout en ayant un accès à l’information et un contact privilégié avec les professeur.es.
C’est ainsi une expérience valorisante sur le plan humain, personnel et professionnel.
Quels sujets ont été discutés en conseil et pour lesquels il vous paraît important de vous exprimer ?
S. : Depuis l’élection, divers sujets ont été abordés en conseil et pour lesquels il me semble important que les étudiant.es fassent entendre leurs voix. D’abord, au mois de novembre, il a été question d’élire le nouveau directeur au sein du conseil de l’IETL. La participation des étudiant.es à une telle décision est cruciale puisque le directeur élu impulse les lignes directrices au sein de la composante. Dernièrement, il a également été question de voter les modalités d’accès au Master 1 ou encore de discuter du renouvellement des conventions de partenariat avec l’université. 

Que diriez-vous aux étudiant.es qui hésiteraient à se présenter par crainte que ce soit chronophage ?

S. et M. : Derrière un engagement, souvent se cache la peur du temps que cela peut nous prendre. Rassurez-vous, il s’agit seulement de se libérer une fois par mois au plus pour le conseil de votre composante (en sachant que chaque délégué.e est élu.e avec son/sa suppléant.e qui peut le/la remplacer en cas d’indisponibilité). Avant chaque conseil, il est seulement question de lire quelques documents, de consulter l’ordre du jour, ainsi que de recueillir les différentes problématiques rencontrées par les étudiant.es.