3e Journée d’études « DISPROSAC - Discriminations, santé et conflictualité au travail »
- Programme
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- 8h45 : Accueil des participant.es
- 9h00 - Exposé introductif : Sylvie Monchatre, Université Lumière Lyon2, IETL, Centre Max Weber « Processus ségrégatifs et renouveau du "salariat bridé" : fonctionnalités, altérations et mobilisations »
- 9h30-10h15 : Yamina Meziani, Université de Bordeaux, LACES « Pas de discrimination liée à la santé mais des discriminations à effet sur la santé »
- 10h15-10h30 : Pause
- 10h30-11h15 : Marion Duval (Printemps), « Une vie de chantier : organisation du travail et santé des nettoyeurs et nettoyeuses dans la branche ferroviaire »
- 11h15- 12h : Vincent-Arnaud Chappe (CEMS-EHESS) et Mireille Eberhard (Université Paris Diderot – URMIS), « Les ambivalences du métier d’éboueur à Paris : étude exploratoire d’une activité ségréguée »
- 12h00-12h30 : Échanges avec la salle
- 12h30-14h : Pause repas
- 14h-15h30 : Projection-débat : documentaire « Grève au pays des ordures » - INA / Solidaires, en présence de Bernard Bouché (Solidaires)
- 15h30-16h45 : Table-ronde « Droit et relations professionnelles face aux processus de ségrégation professionnelle », avec Cristina Nizzoli (IRES), Carole Giraudet et Pierre-Emmanuel Berthier (Université Lumière Lyon2, IETL, CERCRID)
- 17h00 : Clôture de la journée
- 8h45 : Accueil des participant.es
- Le projet DISPROSAC
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La recherche « DISPROSAC - Discriminations, santé et conflictualité au travail », qui réunit des ergonomes, juristes et sociologues, vise à étudier les discriminations sexistes ou racistes au travail, leurs effets sur la santé et les conditions de possibilité de leur dénonciation. L’enjeu est de saisir les processus de co-production et de justification des discriminations, tout en questionnant les appuis normatifs susceptibles de mettre en question leur légitimité, ceci à partir d’investigations dans les services marchands et non marchands. Partant de l’hypothèse selon laquelle la dénonciation des discriminations repose sur la possibilité d’une comparaison des activités de travail, la recherche articule une double perspective : d’une part, l’analyse des formes de division du travail vécues comme illégitimes au sein des organisations et des situations pathogènes qui peuvent en résulter ; d’autre part, l’analyse des supports statistiques, conventionnels ou juridiques permettant de rendre visibles les inégalités face à la santé et de dénoncer les discriminations. Une attention particulière est portée au rôle des syndicalistes, inspecteur/trices et médecins du travail ou autres « intermédiaires du droit », ainsi qu’aux formes de conflictualité que suscitent les inégalités de traitement illégitimes au cœur même de l’activité.
Modalités de participation |
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L'inscription est gratuite, mais, pour des raisons d'organisation, il est demandé de confirmer votre présence auprès de Sylvie Monchatre <sylvie.monchatre@univ-lyon2.fr> |
Conditions sanitaires |
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Contrôle du passe sanitaire et port du masque obligatoire pour tou.tes |
Informations pratiques
Lieu(x)
Partenaires
En partenariat avec le Centre Max Weber