Publié le 4 septembre 2025
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Mis à jour le 8 septembre 2025
du 30 juin
au 3 juillet 2025
au 3 juillet 2025
Réduire l'empreinte carbone de sa mobilité, ce n'est pas toujours évident car cela dépend bien évidemment de votre destination. Pourtant, des choix peuvent être faits pour que votre mobilité à l'international ait un impact moindre sur la planète.
Maëlys CLERTÉ, agente à la Direction des Relations Internationales, Référente de projet pour les Programmes Courts inter-universitaires et Internationaux a eu l'occasion de partir à Weimar à l'occasion d'un job-shadowing.
Le centre ville de Weimar
Le centre ville de Weimar
Avez-vous construit votre projet de mobilité en fonction de la destination (choix d’une destination accessible en mobilité douce) ? |
M.C : J’ai choisi Weimar pour le lien que nous avons entre l’Université Lumière Lyon 2 et l’Université de Weimar notamment dans le cadre de l’alliance BAUHAUS4EU. J’hésitais entre l’Italie et l’Allemagne qui sont des pays limitrophes avec la France et mon choix s’est tourné vers l’Allemagne. J’ai également construit ma mobilité en regardant quelles étaient les destinations accessibles en mobilité douce. |
Etes-vous quelqu’un de particulièrement engagée en termes de réflexions/actions en faveur du Développement Durable et de la transition écologique ? Mis à part ce choix de transport, faites-vous d’autres actions à votre échelle ? Est-ce une première étape ? |
M.C : J’essaie d’agir à mon échelle car ce sont des réflexions qui m’anime et j’essaie de mener des petites actions au quotidien notamment avec les transports. Au quotidien, je prends principalement les transports en commun ou le vélo. Sur place, à Weimar, je me suis déplacer à pied ou en transports en commun. Je pratique également le tri sélectif, j’achète de la seconde main et je consomme des produits de saison et le plus possible local et bio. |
Où êtes-vous partie en mobilité ? Par quel moyen de transport ? Comment s’est passé le trajet en lui-même (nombre d’heures, changements, en plusieurs fois, plusieurs modes ?) |
M.C : Je suis partie à Weimar en Allemagne. Trajet aller : Tours-Paris puis Paris-Francfort puis Erfurt-Weimar. Il faut normalement 10h pour faire le trajet mais j'ai mis 11h car j'ai eu du retard. Trajet retour : ça a été le même trajet mais dans l'autre sens. |
Estimez-vous que ce choix de modes de transport vous ait coûté davantage en termes d’argent, en préparation, en énergie ? |
M.C : En ce qui concerne la préparation, ça ne m’a pas coûté plus car prendre le train reste plus simple que de prendre l’avion (pas besoin d’être en avance à l’aéroport ou autres…). Je partais de Tours et il n’y avait pas de trajet direct en avion donc j’étais de toutes manières obliger de prendre un autre type de transport. |
Avez-vous eu des difficultés pendant votre trajet ? |
M.C : J’ai eu des retards durant mon trajet mais ça été vite solutionner. |
Pour votre retour, vous avez également choisi un mode de mobilité douce ? |
M.C : Oui, j’ai effectué l’aller-retour en train. |
Quel bilan de cette expérience de transport (et de mobilité aussi si vous voulez nous en dire quelques mots) ? |
M.C : J’en ressors avec de la satisfaction, c’est quand même génial de pouvoir se déplacer aussi loin en train. Comme l’expérience a été bonne (malgré le retard qui n’a rien entâcher), je n’hésiterais pas à réitérer l’expérience ! |
Informations pratiques
Crédits photos : Maëlys CLERTÉ